État émotionnel déséquilibré d’AGRIMONY: Je fais toujours « bonne figure » en réalité je suis « un clown triste ». C’est un mécanisme de défense que j’ai mis en place pour me protéger de ma propre souffrance. Je suis une personne très sensible et me laisse souvent déborder par mes émotions. J’évite les affrontements ou les conflits, je n’aime pas ça. Je dissimule mon mal-être derrière un masque de gaieté ; toujours de bonne humeur, insouciant, je fais rire les autres. En effet en apparence, je n’ai besoin d’aucune aide, je suis courageux. Même quand je suis malade, je suis capable de plaisanter avec ceux qui m’entoure ou qui me soigne. Mais cette joie de vivre que j’affiche en public est un leurre autant pour les autres que pour moi-même, car je n’ai pas la force de regarder en moi et d’admettre que quelque chose me tourmente. Je me voile la face sur mes difficultés ; j’arrive à me convaincre que tout va bien. Mes amis sont souvent les derniers à savoir que quelque chose ne va pas dans ma vie. Pour oublier mes soucis, je recherche des occupations et de la compagnie pour me distraire. Je peux être tenté de me réfugier dans l’alcool, la drogue, les médicaments, ou la nourriture afin d’essayer de fuir mes « démons », pour m’aider à supporter mes problèmes et « anesthésier » mes maux. Je souffre souvent de trouble du sommeil. Car la nuit quand je me retrouve seul, mes pensées tourmentées reviennent me hanter. Je sens l’angoisse m’envahir, mes peurs et inquiétudes remontent à ma conscience.

Retour de l’équilibre émotionnel apportés par AGRIMONY: Je lâche prise, la « dualité » que j’ai si longtemps portée en moi s’estompe peu à peu. Je n’ai plus peur d’être rejeté par les autres. Je m’accepte avec mes qualités et mes défauts, mes certitudes et mes doutes, mes forces et mes faiblesses. Je me réconcilie avec le côté sombre de ma vie, de ma personnalité, afin de devenir un être humain plus authentique. Je décide donc d’être sincère envers moi-même et envers les autres. J’admets que même mes zones d’ombre ont leurs raisons. Un vrai travail d’introspection peu alors commencer, je suis capable de faire face plus sereinement à mes problèmes, leurs perceptions se modifie ; je regarde mes difficultés sous un angle différent. J’apprends à prendre du recul sur mes problèmes et je dédramatise, les considérant comme une chance pour croître et trouver à travers eux la paix intérieure. Je me libère en me montrant au monde tel que je suis et m’autorise à repérer, identifier, extérioriser et exprimer mes émotions, mes souffrances et mes faiblesses afin de leur trouver une solution. Je ressens enfin un bien-être profond, une véritable joie. J’éprouve une réelle paix intérieure. Ce sentiment de paix s’exprime par un sourire sincère. Je peux rire de mes problèmes. Je ne les cache plus, cela m’aide au contraire à les dissiper.

« Conserver son calme face à toutes les épreuves. » Dr Edward Bach